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Sunrise, sunset: life cycles also include biotech seeds
Un début, une fin: les semences biotechnologiques sont aussi soumises au cycle de vie

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Canada
September, 2007

Source: BioCrop News Volume 7 Issue 3 - Croplife Canada

The first biotech seeds will soon be put to bed after more than 10 years on the market, replaced by newer and
improved genetics. Varieties produced with biotechnology will reach the normal end of their lifecycle, just like conventional varieties. In preparation, Canada’s plant biotech industry started to proactively communicate
discontinuation plans to canola, soybean and corn commodity groups as well as the Ontario Agri-Business Association (OABA) and Canadian Seed Trade Associations (CSTA) this past summer.

Some jurisdictions around the world have temporary regulatory approvals for biotech seeds and when a product is discontinued it may not completely disappear. In these cases regulatory authorities need to consider low level
presence may still be a factor. Guidance has already been set by Europe, where temporary registrations are the norm, which has agreed to a 0.9 percent tolerance for five years after discontinuation, says Denise Dewar, Executive Director, Plant Biotechnology, CropLife Canada. Of course low level presence and the need for
continued acceptance in export markets is a must. “Communication with grain traders is key,” responds Dave Buttenham, General Manager OABA. “What are the buyer’s specs for the product? Can we get caught with liability if the ship is loaded with 3 percent of a discontinued product and the buyer has contracted for 1 percent while we’re loading a ship in Sarnia destined for Amsterdam?”

In a global trading environment, farmers with as few as 100 acres will need to understand the global implications of their growing practices with regards to discontinued GM events. How these products are discontinued will become part of industry’s best management practices policy under the stewardshipfirst™ program of CropLife Canada.

Sources: Interviews with Dave Buttenham (OABA) and Denise Dewar
Original newsletter


Source: AgroBiotech Info Volume 7 Issue 3 - Croplife Canada

Un début, une fin: les semences biotechnologiques sont aussi soumises au cycle de vie

Les premières semences biotechnologiques seront bientôt mises au rancart après plus de 10 années de vie utile sur le marché, pour faire place à une génétique plus évoluée. Les variétés issues de la biotechnologie auront atteint la fin de leur cycle de vie normal, tout comme les variétés traditionnelles. Pour s’y préparer, l’industrie
canadienne de la biotechnologie végétale a commencé l’été dernier à faire connaître ses plans de retrait aux groupement de producteurs de canola, de soja et de maïs, ainsi qu’à l’Ontario Agri Business Association (OABA) et à l’Association canadienne du commerce des semences (ACCS).

Certains pays ont un système d’approbation réglementaire temporaire pour les semences biotechnologiques et, lorsqu’un produit est retiré du marché, il est possible qu’il ne disparaisse pas complètement. Dans ces cas, les autorités réglementaires doivent se pencher sur le fait que la présence de faibles concentrations du produit
retiré est toujours possible. La marche à suivre à cet égard nous est fournie par l’Europe, où les approbations temporaires sont la norme et où l’on s’est entendu pour une tolérance de 0,9 pour cent pendant cinq ans après le retrait du produit, explique Denise Dewar, directrice administrative, Biotechnologie végétale chez CropLife Canada. Bien entendu, la présence à faible concentration et son acception continue dans les marchés d’exportation sont essentielles. « La communication avec les manutentionnaires de grains est cruciale, répond Dave Buttenham, directeur général de l’OABA. Quelles sont les spécifications du produit exigées par l’acheteur? Lorsque nous chargeons à Sarnia un bateau destiné à Amsterdam, avons-nous un problème de responsabilité si le chargement du bateau contient 3 pour cent d’un produit retiré alors que l’acheteur a négocié à un pour cent?

Dans le contexte du commerce mondial, des producteurs qui ne cultivent que 40 hectares devront comprendre les implications mondiales de leur pratiques agricoles en ce qui a trait aux créations transgéniques une fois qu’elles sont retirées du marché. La façon d’effectuer ces retraits sera intégrée aux lignes directrices de bonne gestion de l’industrie, dans le cadre du programme de gestion responsable de CropLife Canada.

Sources : Entrevues avec Dave Buttenham (OABA) et Denise Dewar
Original newsletter

 

 

 

 

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